Je tiens tout particulièrement à remercier Jean-Michel Wittmann pour sa disponibilité et son soutien. Mes plus sincères remerciements vont également à Vincenzo Mazza, à Stéphanie Bertrand, au Centre d’Études gidiennes, au laboratoire Écritures et à l’École Doctorale Humanités Nouvelles – Fernand Braudel, à Peter Schnyder, à la Fondation Catherine Gide et à sa directrice, Ambre Philippe, à la Bibliothèque littéraire Jacques-Doucet, à Pasquale Porro, à Marta Aiello, Claudia Cardone et Alessandra Costarella.