In memoriam Guy Demerson, comme « feu parmy les brandes »
- Type de publication : Article de revue
- Revue : L’Année rabelaisienne
2022, n° 6. varia - Auteur : Huchon (Mireille)
- Pages : 19 à 26
- Revue : L'Année rabelaisienne
Guy Demerson
comme « feu parmy les brandes »
Il souriait, les yeux ironiques, quand je l’appelais amicalement « Epistemon » ; pour d’autres, il était « Ponocrates », mais, espiègle et vif-argent, il se voulait aussi Panurge et ne dédaignait pas la truculence de frère Jean. Il représentait à lui seul tous les personnages de Rabelais. Quand Claude Gaignebet, dans les extravagantes et enjouées assemblées des rabelaisants de la fin du dernier millénaire, disait « Je suis Rabelais », lui, incarnait si bien l’esprit pantagruéliste « entre les livres… infatigable et strident », assoiffé et assoiffant de connaissances, enthousiaste et fougueux, avec, toujours, cette « gayeté d’esprit conficte en mespris des choses fortuites ».
Il est de curieuses coïncidences dans les destins de Guy Demerson et de Michael Screech, ces deux géants de la critique rabelaisienne, tous deux disparus dans leur quatre-vingt-treizième année1. Le premier ouvrage de Michael Screech était The Rabelaisian Marriage (1958), qui sera traduit, en 1992, sous le titre de Rabelais et le mariage. En 1952, le diplôme d’Études supérieures de Guy Demerson, brillant normalien – qui avait été reçu premier au concours d’entrée de la rue d’Ulm –, s’intitulait Rabelais et le mariage. L’un et l’autre avaient des raisons de s’y intéresser. Le premier avait épousé Anne deux ans avant la publication de son Rabelaisian Marriage, le second, l’année même de son diplôme, Geneviève, brillante sévrienne, appelée à devenir une célèbre spécialiste de néo-latin. Des unions qui dureront plus de soixante ans dans une grande complicité intellectuelle2.
Guy Demerson ne devait revenir à la recherche rabelaisienne qu’une vingtaine d’années après son premier mémoire. Sa thèse de doctorat 20d’État, sous la direction de Raymond Lebègue, était consacrée à La Mythologie dans la poésie lyrique de la Pléiade (publication chez Droz en 1972). Au temps de ces doctorats, les magistri nostri de Sorbonne étaient formels : s’adonner entièrement à la thèse et ne rien publier avant la soutenance. Guy Demerson ne cessera ensuite de s’intéresser à la poésie de la Pléiade, offrant, entre autres, des éditions de Jean-Antoine de Baïf et de Rémy Belleau. Comme un lien entre le monde poétique et Rabelais, le mythe informera toujours ses recherches rabelaisiennes, témoin, déjà, l’article en 1973 sur « La mythologie classique dans les “Mythologies Pantagruelicques” de Rabelais ».
Il entre en Rabelaisie en 1973 avec un Credo dont il ne se départira pas : « ce qu’il a de plus attirant et de perpétuellement jeune dans le génie de Rabelais : le sens du dialogue, c’est-à-dire le sentiment vivace d’oppositions irréductibles dans le monde, qu’il ne s’agit pas de nier, mais que l’homme de bonne volonté sait toujours surmonter par un rire colossal. Écrire, c’est échapper à la logique du monologue, c’est accéder à l’existence par la complicité » et, en corollaire : « Cette philosophie de l’échange généreux, qui ne marchande pas l’amitié et ne comptabilise pas le don, confère au roman de Rabelais sa richesse dense, mais aussi ses obscurités géniales, utilement déroutantes3 ».
Il y entre par un coup d’éclat, une aventure pionnière qui fit couler beaucoup d’encre, pas toujours sympathique, mais à laquelle, cinquante ans plus tard, les entreprises similaires, qui se sont multipliées, rendent hommage : une édition des Œuvres complètes de Rabelais avec traduction en français moderne en regard du texte original4. Il en avait établi le texte et fourni la préface et les annotations, Geneviève Demerson s’était chargée des textes latins. Avec douze de ses étudiants de la faculté des lettres de Clermont-Ferrand – où, arrivé en 1962, il fit toute sa carrière universitaire jusqu’à son éméritat en 1990 –, il avait voulu extraire la substantifique moelle du texte et la restituer en mots accessibles à tous. On imagine sans peine les joyeuses séances auxquelles ils durent se livrer pour cette « transfusion de langue contemporaine dans un corpus ancien », conduits par Guy Demerson, ce passeur de connaissances, qui endossait, comme en maintes autres occasions, le rôle de Tiphys.
21En 1995, il donna une nouvelle édition chez le même éditeur, avec toujours la contribution de Geneviève Demerson pour les textes savants. Il y fournissait sa propre traduction et le texte de Rabelais avait été revu sur les éditions originales dans le cadre d’Equil XVI (Études quantitatives interdisciplinaires sur la langue du xvie siècle), équipe dont il était à l’origine. Des éditions séparées des cinq livres parurent en format de poche (collection « Points »). Il édita aussi, indépendamment, la Pantagrueline prognostication (1994), avec une préface « Facétie astrologique et satire humaniste », ainsi que, en collaboration, les textes pararabelaisiens, Le Disciple de Pantagruel (1982) et les Chroniques gargantuines (1988).
Il était toujours prêt à se lancer dans les entreprises les plus novatrices, privilégiant l’interdisciplinarité. Dans le cadre des RCP (« Recherches coopératives sur programme » portant « sur un même thème de recherche abordé en coopération et sous des angles différents par plusieurs laboratoires »), qui animaient la recherche des années 80, il fut responsable de la RCP 560 « Littérature à destination populaire de la Renaissance », puis, coordinateur de la RCP 667 « Groupe interdisciplinaire d’études rabelaisiennes : lexicologie et stylistique » à partir d’un corpus informatisé, dont il me demanda d’assurer la direction. Le Cinquième livre et les problèmes d’authenticité nous avaient réunis. Avaient été mises à sa disposition les bandes magnétiques de l’édition du Seuil de 1973 qui pouvaient être exploitées informatiquement. Cette opportunité offrait donc la possibilité – exceptionnelle, il y a quarante ans – de fournir des index, des tableaux de distribution des fréquences, de cooccurrences et de mener une réflexion sur l’utilisation de l’informatique pour les textes du xvie siècle, sur les problèmes posés, entre autres, par la lemmatisation. L’ingénieur en informatique, Gilles Proust, conçut et réalisa un logiciel interactif de traitement de textes littéraires, LITTERAE. Je garde l’heureux souvenir de nos séances amicales et animées à Clermont-Ferrand et de la fulgurance de la pensée demersonienne.
L’expérimentation, la confrontation à plusieurs, la nouveauté séduisaient Guy Demerson qui fut un pionnier en maints domaines. Que l’on songe au volume qu’il réunit sur la notion de genre à la Renaissance ou au colloque fondateur en 1988 consacré à Louise Labé5. Il accordait considération à toutes les méthodes, suivant le précepte rabelaisien de 22ne jamais prendre en mauvaise part ce qu’il voyait « sourdre de bon, franc, et loyal couraige » (prologue du Tiers livre). Comme il l’écrit à propos de la psychanalyse : « Ces méthodes sont d’autant plus séduisantes qu’elles ne se veulent pas exclusives et préservent le chercheur de la monomanie critique ; bien au contraire, elles permettent de compléter d’autres visions d’un texte oblique pour en restituer la rectitude6 ». Son riche article sur « La leçon de Mikhaïl Bakhtine. L’entrechoquement des langues et des cultures » est une subtile analyse des conditions de réception de l’œuvre du critique.
Il aimait l’alliance des contraires, parfois improbables, en un joyeux syncrétisme, telles « la gouaille du Bien ivre » et « la science du penseur » : en témoigne le titre qui réunit, en 1994, quinze de ses études sur Rabelais, Humanisme et Facétie, avec en couvertureun dessin de Robida, représentant le farceur Panurge attachant, non des queues de renard, mais de petits papiers, au dos du maître ès arts. Il fut toujours très attentif à l’illustration de Rabelais, d’où sa belle expérience en 1999 avec le peintre Gérard Garouste pour la Dive Bacbuc.
Le recueil de ces contributions prouve un intérêt constant pour la chair du texte : les facéties, les calembours, le plurilinguisme, la tradition rhétorique ; il atteste la diversité de ses champs d’exploration : Rabelais et le calendrier, les météores, le sacré, la violence, le problème des dettes, ainsi qu’une stimulante réflexion sur Rabelais et l’analogie, sur le prologue, sur les genres littéraires. Comme toujours avec Guy, l’habile synthèse s’accompagne d’une stimulante prospective. Son Rabelais, une vie, une œuvre, une époque (1986) est un modèle du genre. Dans cette autre somme qu’est son François Rabelais (1991), se sont imposés les développements sur la « Composition en “inclusion” ». L’Esthétique de Rabelais (1996), toute de finesse, offre un autre regard sur les formes et les genres.
Michael Screech avait publié en collaboration avec Stephen Rawles, A New Rabelais Bibliography : Editions of Rabelais before 1626 (1987). C’est une monumentale Bibliographie François Rabelais, menée en collaboration avec Myriam Marrache-Gouraud, que Guy Demerson livra au public en 2010. Dans ce recensement de tout ce qui parut de et sur Rabelais jusqu’en 2006 – soit 5 277 rubriques et 374 comptes rendus en plus de huit cents pages –, Guy Demerson s’était chargé de tous les documents antérieurs à 1983, ce qui représente les deux tiers 23des notices. L’ouvrage se signale par le commentaire qui accompagne chaque référence, et par les « chapeaux » en tête de chaque section qui, en quelques lignes, brossent de remarquables états des lieux, où l’on retrouve le mythe Rabelais, une réflexion sur les méthodes. Il ne faut pas se contenter de consultations à partir des index, mais se promener dans les galeries de ce que les auteurs ont conçu « comme une autre Thélème ». On ne dira jamais assez ce que cette entreprise suppose d’abnégation, de temps (sept années), pour mettre un exceptionnel outil à la disposition de la communauté scientifique. On méditera le malicieux avertissement : « Quiconque se servira de l’outil que nous lui proposons le maniera avec circonspection, profit ou ironie, en sachant rester lui-même “interprète de son entreprise”, suivant le conseil pantagruélique7 ».
« Lire Rabelais, lire selon le mode d’emploi, c’est se situer dans une communication sociale8 ». Cette communication sociale, Guy Demerson l’a particulièrement goûtée, en « bon gaultier et bon compaignon », dans ces grandes messes que furent les colloques Rabelais. Il s’amusa des deux qui célébrèrent à Tours, à dix ans d’intervalle, les cinq cents ans de la naissance de Rabelais. Il parla dans le premier des « paradigmes épiques », dans le second des « jeux et passetemps ». Il accorda, dans sa remarquable synthèse de celui de 1984, les « voix diverses et contrastées d’une polyphonie », tout en avisant en un calembour que : « Re-lire Rabelais ne doit jamais être le dé-lire9 ». À ceux de Rome, consacrés au Cinquième livre et à la langue de Rabelais, il fascina l’auditoire par les hiéroglyphes de la boisson et le Dr Rabelais et ses Bien Yvres.
Ses anciens compagnons et compagnes en rabelaiseries ont été si heureux de le retrouver en 2014 en Sorbonne pour célébrer Rabelais l’inextinguible. Ceux qui ne le connaissaient que par ses livres, les plus jeunes rabelaisants, eurent un immense plaisir à découvrir cette figure mythique. Lui se disait comblé en pareille communauté de pantagruelistes. Magnifique moment de joie partagée, son regard de flamme et son sourire d’éternelle jouvence, inoubliables.
Les lignes, magnifiques, qu’il écrivit pour les Mélanges de Daniel Ménager, qui devait s’en aller, en 2020, trois mois avant lui, dessinent, derrière le portrait qu’il peignait de Rabelais, l’autoportrait de l’humaniste engagé qu’il fut en ses livres et en sa vie :
24L’humaniste, savant à la curiosité stridente comme feu parmi les brandes, érasmien ami de la clarté d’un évangélisme épuré, est conscient des fallaces d’un savoir captieux et des mystifications favorisées par un mysticisme à bon marché. C’est la création romanesque qui lui permet d’exprimer et d’exorciser ces contradictions. Mais, alors, il se doit de résister férocement à la sympathie qu’attirent les personnages romanesques, fruits de ses entrailles. Si leurs existences de papier comportent parfois comme des mirages lointains des images embuées de Christ […], elles rappellent que toute icône est anamorphose dérisoire, risible sacrilège. Tel est le travail secret de l’invention artistique : quand l’artiste se trouve confronté à une contradiction insurmontable, existentielle, qu’aucun procédé logique ne saurait résoudre, c’est en inventant de nouvelles formes, en faisant venir à la lumière un univers d’êtres déconcertants, qu’il crée son style10.
Mireille Huchon
25Publications rabelaisiennes de Guy Demerson postérieures à la bibliographie fournie dans Poétique et Narration. Mélanges offerts
à Guy Demerson, Paris, Champion, 1993
Humanisme et facétie. Quinze études sur Rabelais, Orléans, Paradigme, 1994.
« Quel âge avait Rabelais ? », Bulletin de l’Association des amis de Rabelais et de la Devinière, t. V, no 3, 1994, p. 144-146.
« Rabelais. Dossier », Magazine littéraire, no 319, 1994, p. 16-64.
Rabelais, Pantagrueline prognostication, éd. Guy Demerson, Paris, Mille et une nuits, 1994.
« Éthylisme et création littéraire », Nervure, viii, mars, 1995, p. 37-42.
Rabelais, Œuvres complètes. Édition établie, annotée et préfacée par Guy Demerson. Texte original établi par Michel Renaud et les chercheurs du laboratoire Equil XVI. Avec une translation de Guy Demerson. Textes latins établis, présentés, annotés et traduits par Geneviève Demerson, Paris, Éditions du Seuil, 1995.
« Rabelais et la nature de l’eau », ÉR, XXXI (1996), p. 11-29.
L ’ Esthétique de Rabelais, Paris, SEDES, 1996.
« Rabelais côté jardin », dans Conteurs et romanciers de la Renaissance. Mélanges offerts à Gabriel-André Pérouse, dir. James Dauphiné et Béatrice Périgot, Paris, Champion, 1997, p. 151-172.
Préface à Gérard Garouste, La Dive Bacbuc, Paris, Fondation Coprim, 1998.
« Jeux et passe-temps », dans Rabelais pour le xxie siècle, dir. Michel Simonin, ÉR, XXXIII (1998), p. 117-129.
« Le Pantagruel, dictionnaire d’idées reçues ? », RHLF, t. C, no 5, 2000, p. 1267-1284.
« Entre ciel et terre : Vulcain chez Rabelais », dans Figuration du volcan à la Renaissance, Paris, Champion, 2001, p. 277-294.
« Trinch ou les hiéroglyphes de la boisson », dans Le Cinquiesme Livre. Actes du colloque international de Rome (16-19 octobre 1998), dir. Franco Giacone, ÉR, XL (2001), p. 127-146.
« L’horrificque chez Rabelais », Humoresques, no 14, 2001, p. 185-206.
« La leçon de Mikhaïl Bakhtine. L’entrechoquement des langues et des cultures », Esprit, no 283, mars-avril 2002, p. 240-253.
« Apollonios de Tyane chez Rabelais : Christ dans un miroir déformant ? », dans Cité des hommes, cité de Dieu. Travaux sur la littérature de la Renaissance en l’honneur de Daniel Ménager, Genève, Droz, 2003, p. 503-512.
« Fay ce que voudras », Bulletin de l’Association des amis de Rabelais et de la Devinière, t. XVI, no 3, 2004, p. 273-279.
26« De la persona à la personnalité littéraire : l’exemple du Pantagruel », dans La Parole masquée, Lyon, Centre Jean Prévost, Université Jean-Moulin - Lyon 3, 2005, p. 65-82.
« “Je trouve beau ce” (Gargantua, ch. 16). Rabelais paysagiste, ou Gargantua dans ses campagnes ? », RHR, no 60, 2005, p. 31-49.
« Gargantua, François Rabelais », L’explication littéraire. Pratiques textuelles, dir. Ridha Bourkhis, Paris, Armand Colin, 2006, p. 21-32.
« Dr Rabelais : observation linguistique et littéraire », dans La Langue de Rabelais, la langue de Montaigne. Actes du colloque de Rome, septembre 2003, dir. Franco Giacone, ÉR, XLVIII (2009), p. 41-60.
Bibliographie des écrivains français, François Rabelais, en collaboration avec Myriam Marrache-Gouraud, Paris – Rome, Memini, 2010.
« Allégorie satirique et allégorie heuristique : Rabelais et les combats religieux de son temps », dans La Renaissance au grand large. Mélanges en l’honneur de Frank Lestringant, dir. Véronique Ferrer, Olivier Millet et Alexandre Tarrête, Genève, Droz, 2019, p. 525-538.
« La Bibliographie François Rabelais comme une autre Thélème », en collaboration avec Myriam Marrache-Gouraud, dans Inextinguible Rabelais, Paris, Classiques Garnier, 2021, p. 121-133.
1 Voir « Michael Screech ou l’irrévérent Révérend », L’Année rabelaisienne, no 4, 2020, p. 39-44.
2 Voir, entre autres illustrations, La Mythologie classique dans la littérature néo-latine - En hommage à Geneviève et Guy Demerson, dir. Virginie Leroux, Clermont-Ferrand, Presses universitaires Blaise Pascal, 2011, actes d’un colloque de 2005 dont le sujet conjoignait leurs champs respectifs d’investigation.
3 Préface de l’édition des Œuvres complètes de Rabelais de 1973, reprise dans l’édition de 1995.
4 Rabelais, Œuvres complètes.Édition établie, annotée et préfacée par Guy Demerson. Avec une translation due à Philippe Aubrée, Monique Clostre[suivent dix autres noms]. Texte latin établi, annoté et traduit par Geneviève Demerson, Paris, Éditions du Seuil, dans la collection « L’intégrale », 1973.
5 La Notion de genre à la Renaissance, dir. Guy Demerson, Genève, Slatkine, 1984 ; Louise Labé : les voix du lyrisme, dir. Guy Demerson, Paris et Saint-Étienne, Éditions du CNRS et Publications de l’Université de Saint-Étienne, 1990.
6 Rabelais en son demi-millénaire, Actes du Colloque international de Tours, septembre 1984, dir. Jean Céard et Jean-Claude Margolin, ÉR, XXI (1988), p. 402.
7 Bibliographie des écrivains français, François Rabelais, Paris – Rome, Memini, 2010, p. 733.
8 Rabelais en son demi-millénaire, op. cit., p. 405.
9 Ibid., p. 406 et 403.
10 « Apollonios de Tyane chez Rabelais : Christ dans un miroir déformant ? », dans Cité des hommes, cité de Dieu. Travaux sur la littérature de la Renaissance en l’honneur de Daniel Ménager, Genève, Droz, 2003, p. 511.
- Thème CLIL : 4027 -- SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES, LETTRES -- Lettres et Sciences du langage -- Lettres -- Etudes littéraires générales et thématiques
- ISBN : 978-2-406-12943-1
- EAN : 9782406129431
- ISSN : 2554-9111
- DOI : 10.48611/isbn.978-2-406-12943-1.p.0019
- Éditeur : Classiques Garnier
- Mise en ligne : 23/03/2022
- Périodicité : Annuelle
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