Ce numéro est le deuxième édité par les Éditions Garnier, ce qui nous donne la belle opportunité de côtoyer les revues dédiées aux plus grands noms de la littérature française et d’augmenter considérablement notre diffusion, notamment auprès des universités.
Notre journée du 23 juillet nous a permis d’accueillir les descendants de la famille et des amis des Guérin dans une ambiance particulièrement chaleureuse. Le sujet de la conférence étant par ailleurs en parfaite concordance comme vous le lirez.
Nous espérons qu’ils rejoindront notre Association car nous devons penser à l’avenir et même s’il n’y a pas péril en la demeure, le renouvellement constant de nos membres est indispensable, surtout par les nouvelles générations.
C’est d’ailleurs le problème actuel de la plupart des associations comme la nôtre.
Mais est-ce un signe de bon augure ? Ce 23 juillet était présente parmi nous celle que nous avions surnommée en 2010 la mascotte du colloque : parmi nos auditeurs, adultes pour la plupart, s’était alors glissée une jeune adolescente qui avait assidûment suivi chacune de nos séances. La retrouver cette année ne laisse-t-il pas présager que le flambeau continue à se transmettre ?
Nous attendons la nomination du nouveau responsable des musées du Tarn et nous espérons que de nouveaux projets de restauration seront envisagés car notre meilleur ambassadeur auprès du public reste le Cayla et son charme incomparable.