Notre transcription des textes français des xvie et xviie siècles se devait de ne rien gommer qui portât des traces de l’histoire du texte. Nous avons néanmoins fait les intervenions minimales suivantes :
–nous dissimilons -i et -j, -u et -v ;
–nous développons les abréviations : & devient et ; voyelle + tilde devient voyelle + -n ou -m ; ß devient ss.
–la cédille est mise lorsque la prononciation l’exige ;
–portent l’accent grave : la préposition à, les adverbes de lieu là et çà, le relatif ou adverbe de lieu où, les adverbes déjà et jà et le présentatif voilà. L’auxiliaire avoir le perd.
–en syllabe finale des noms, adjectifs ou participes en -é, -ée, -és, -ées, nous portons l’accent aigu lorsqu’il fait défaut ;
–il n’a pas été ajouté d’accent intérieur.
Pour les textes (néo-)latins, nous avons maintenu tel quel le texte des éditions consultées.