Références, indications, abréviations

Références, indications,
abréviations

Conformément au protocole défini par les éditions Gallimard dans la collection de la « Bibliothèque de la Pléiade », nous indiquons les citations tirées des Œuvres romanesques complètes de la manière suivante : le titre de l’œuvre, le nom en abrégé du volume (ORC), le tome puis la page. Pour les volumes Récits et essais et Journal, poèmes et autresessais, nous citons le titre de l’œuvre, le nom en abrégé du volume (RE ou JPE) et la page. Si la citation est tirée d’un journal, nous indiquons la date, le titre du journal, JPE et la page.

Si la citation est tirée des carnets préparatoires, nous indiquons systématiquement le nom du carnet, l’indication abrégée du folio [Fo] et de la face, recto [ro] ou verso [vo], entre crochets, la date, s’il y en a une, puis le numéro de la Revue Giono et la page, si le carnet a été édité.

Les titres des nouvelles, des préfaces, des postfaces et des chroniques journalistiques sont indiqués avec des guillemets pour bien les distinguer des œuvres romanesques.

Les citations des livres bibliques sont tirées de la traduction de Louis Segond. Dans sa thèse consacrée à l’intertextualité biblique dans l’œuvre de Giono [1989], Llewellyn Brown mentionne trois éditions de la Bible dans la bibliothèque de Giono : la King James Version[1611] citée dans Noé (ORC, t. III, p. 618), la traduction de Lemaistre de Sacy en deux volumes [1717] et celle d’Eugène Ledrain en neuf volumes [1886-1889]. L’édition de Lemaistre de Sacy ne se trouve pas actuellement dans la bibliothèque. Figurent, en revanche, une édition de la Bible dans la traduction de Louis Segond [1942] très largement annotée par Giono et les Quatre Évangiles à l’usage du peuple chrétien dans la traduction de la Bible de Jérusalem [1960].

L’ordre adopté pour citer, en notes, des ouvrages et des articles critiques est chronologique.