Table des matières

Table des matières

Liste des sigles    7

Introduction    9

L’apprentissage : une traversée de l’espace social    9

Les formations d’ingénieurs comme poste d’observation   12

Une étude globale des formations d’ingénieurs
par apprentissage   15

L’apprentissage « du CAP au diplôme d’ingénieur »   19

1987 : l’apprentissage entre dans la logique des diplômes   21

Le décloisonnement de la succession
des contrats et les « CAP connexes »   21

Le décloisonnement des demandes d’ouverture   23

Le baccalauréat professionnel :
un décloisonnement « tout à fait jouable »   26

Le jeu des frontières autour de la loi de 1987   29

La frontière entre territoires ministériels   29

La frontière entre ordres d’enseignement   33

La frontière entre autonomie
et hétéronomie relatives du système scolaire   40

Les logiques de croissance des effectifs apprentis depuis 1987   43

La « démocratisation ségrégative »
de l’enseignement supérieur comme toile de fond
de « l’aspiration vers le haut » de l’apprentissage   44

L’apprentissage dans l’enseignement supérieur :
combien de divisions ?   49

La prédominance de la croissance extensive
des effectifs apprentis du supérieur   53

Former des apprentis ingénieurs

Entre école et CFA    59

L’apprentissage ingénieur, des CFA vers les écoles    61

Les nouvelles formations d’ingénieurs
et le réseau initial des ITII    61

La localisation contemporaine de l’apprentissage
dans l’espace des écoles d’ingénieurs    67

La division du travail entre écoles et CFA    74

Les CFA à la hauteur symbolique
des diplômes généralistes ?    75

Un « marché des transferts » des formations :
quand les écoles changent de CFA    80

Les ITII, l’UIMM et le circuit de la taxe d’apprentissage    85

L’apprentissage dans l’enseignement supérieur
coûte-t-il (trop) cher ?    86

La réforme de 2018 de la taxe d’apprentissage :
un changement du tout au tout ?    90

Une collecte de taxe d’apprentissage en circuit fermé    92

« Un service de proximité »    96

Recruter des apprentis ingénieurs   101

L’économie générale du travail de recrutement   103

Le contexte institutionnel et l’offre de places   104

La division du travail de recrutement
entre école et CFA   106

Catégories de papier, catégories en pratique   110

Des supports formels d’évaluation et de perception   110

Le traitement qualitatif du quantitatif   113

« Que nul n’entre ici s’il n’est que technicien »   117

La morphologie sociale du recrutement   123

Les non-admissibles : « Étudiant [DUT]
GTE [Génie Thermique et Énergie] moyen,
rien de remarquable dans le dossier »   125

Les admis sur liste complémentaire :
« Moyen en anglais mais est parti travailler
en Angleterre Schneider Electric »   126

Les admis sur liste principale :
« Très bonne étudiante [DUT] GTE
+ profil ouvert (animatrice) »   129

Des admis aux intégrés :
le parachèvement hétéronome du recrutement   132

L’anticipation de l’exigence de placement en entreprise   134

Une nouvelle donne morphologique
dans le classement des admis   136

Les destins ouverts des filles scientifiques   138

Les apprentis ingénieurs,
des étudiants comme les autres ?   143

Des portraits qui diffèrent selon le zoom de l’objectif   145

À l’échelle de l’enseignement supérieur
comme un tout   145

À l’échelle des types de diplômes   148

Ascensions apprenties et refuges scolaires   150

Une « école atypique » en quête de « reconnaissance »   150

Origines sociales et parcours scolaires
des apprentis et statuts scolaires   154

Un refuge scolaire faute de place en apprentissage ?   162

Les apprentis ingénieurs, une jeunesse plus adulte   169

Le temps des études et le temps du travail   171

L’accès à l’autonomie
dans les conditions matérielles d’existence    176

Trajectoires au travail, travail des trajectoires   181

Trouver une place : la confrontation au marché du travail   183

Le rôle crucial de l’intermédiation
du CFA ou de l’école   185

Laure : « Je n’avais jamais imaginé
que je serais représentante commerciale
de mon propre master »   191

Géraldine : « Tout le travail est mâché,
tu as juste à regarder »   195

Paul : « Je me disais qu’il était encore assez tôt
quand j’ai commencé à faire mes recherches »   197

Définir la place : entre dossiers du moment
et horizon de la qualification   201

Des maîtres d’apprentissage superviseurs
en dernier ressort   202

Une relation de formation prise
dans les contraintes productives   205

Faire sa place : le quotidien de l’accès
au monde de l’encadrement   208

Se situer dans la hiérarchie salariale
du côté des bureaux   208

Des rapports aux syndicats et à la politique pris
dans la socialisation à l’encadrement   212

L’accès entravé au monde des chefs
des ingénieures d’origines populaires   216

Conclusion   223

Le passé qui ne passe pas de l’apprentissage   223

L’apprentissage : cheval de Troie du patronat ?   224

Les apprentis ingénieurs, un groupe pluriel   226

Épilogue : l’apprentissage ingénieur
dans l’envolée actuelle des effectifs apprentis   227

Bibliographie   231

Index des notions   237

Liste des Tableaux   239