À maman pour avoir partagé avec moi son expérience universitaire.
À l’enfant que j’étais quand j’ai trouvé Tristes tropiques
dans sa bibliothèque et je l’ai lu.
En souvenir de mes camarades du cours de Littérature Argentine I
assuré par David Viñas au moment du retour de la démocratie,
en 1986, à l’Université de Buenos Aires, où ce travail est né.