Perrichon, à la marchande de livres. – Madame, je voudrais un livre pour ma femme et ma fille… un livre qui ne parle ni de galanterie, ni d’argent, ni de politique, ni de mariage, ni de mort.
Daniel, à part. – Robinson Crusoé !
La marchande. – Monsieur, j’ai votre affaire.
Elle lui remet un volume.
Perrichon, lisant. – Les Bords de la Saône : deux francs ! (Payant.) Vous me jurez qu’il n’y a pas de bêtises là-dedans ? »
Eugène Labiche et Édouard Martin, Le Voyage de Monsieur Perrichon[L 1 668].