La notion d’identité chez Gide est inséparable d’une conception du moi comme essentiellement fluide. Au fond, l’écrivain présente un cas de ce que Bachelard appelait un « psychisme hydrant ». À partir de ce constat cet article étudie des exemples de cette affinité avec l’eau qui se manifeste de plusieurs façons dans de nombreux textes de Gide. Ces recherches éclaircissent finalement un aspect jusqu’ici méconnu du schaudern.
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