![François-René Molé. Biographie - Iconographie](https://classiques-garnier.com/images/Vignette/JrfMS01b.png)
Iconographie Dessins, gravures et estampes
- Type de publication : Chapitre d’ouvrage
- Ouvrage : François-René Molé. Biographie
- Pages : 253 à 257
- Collection : Biographies, n° 3
ICONOGRAPHIE
Dessins, gravures et estampes
Molé à la ville
Molé à la ville, gravure d’Auguste de Saint-Aubin, d’après E. Aubry. En buste dans un ovale, costume Louis XVI (1786) [Musée Carnavalet].
Molé à la ville, vignette, en buste, de profil, tourné vers la droite, ornant la Vie de Molé par Étienne et Gaugiran-Nanteuil, Paris, Desenne et Martinet, an XI – 1803 [Comédie-Française1].
Molé à la ville, en buste, gravure de Simonnet d’après Devéria. En buste, catogan poudré, costume Louis XVI, Le Monde dramatique, [C-F. (Album Pasteur, II, 1)].
Molé à la ville, Gravure par Frédéric Hillemacher, d’après Saint-Aubin. Reproduit dans Galerie historique des comédiens de la troupe de Voltaire, par Édouard de Manne, Lyon, Scheuring, 1859 [C-F.].
Molé à la ville, gravure par Lefort, d’après Saint-Aubin. Reproduit dans Galerie historique des Comédiens français de la troupe de Voltaire, par Henri Lefort et Édouard De Manne, Lyon, Scheuring, 1877 [C-F.].
Molé à la ville, tête, portrait anonyme au crayon en couleur (vente Rouillac).
Molé dans ses rôles les plus célèbres
Comédies et drames (seul)
Molé dans le rôle d’Alceste, dans Le Misanthrope, de Molière, par Dutertre, Costumes et annales des grands théâtres de Paris, Paris, Janinet 1786, noIX. [C-F.].
254Molé dans le rôle d’Alceste dans Le Misanthrope de Molière. Gravure par Delpech, publiée dans Costumes de théâtre de 1600 à 1820 par Hippolyte Lecomte, Paris, Delpech, 1820-1825 [Comédie-Française].
Molé dans le rôle de Lindor, Heureusement, de Rochon de Chabannes. Gouache sur vélin par Fesch et Whirsker [Bibliothèque nationale de France2].
Molé dans le rôle de Béverley, de Saurin (« nature, tu frémis » !), V, 5, estampe en noir et blanc dédiée au Duc de Duras, gravée par Elluin d’après Le Clerc [Bibliothèque nationale autrichienne]3.
Molé dans le rôle du Chevalier, Le Chevalier français à Turin, de Dorat. Gouache et encre sur vélin, par Fesch et Whirsker [Comédie-Française, Photo Patrick Lorette].
Molé dans le rôle du marquis, dans Le Dissipateur de Destouches. Gravure de Whirsker. Reprod. dans les Métamorphoses de Melpomène et de Thalie[C-F.].
Molé dans le rôle du marquis dans Le Tambour nocturne de Destouches. Gouache, encre et rehauts dorés par Fesch et Whirsker [BnF].
Molé dans le rôle du comte Almaviva, Le Barbier de Séville, deBeaumarchais. Dessin de Desrais, gravé par Dupin4.
Molé dans le rôle du Séducteur, dans Le Séducteur, du Marquis de Bièvre. Aquarelle : signé et daté en bas à gauche (Favart 1811) H. 0, 200 ; L. 0, 145 (dessin) [C-F., photo : Patrick Lorette].
Molé dans le rôle du séducteur, Le Séducteur du marquis de Bièvre. Gravure par Prudhon d’après Favart, reliée dans Galerie théâtrale, collection de 144 portraits en pied des principaux acteurs et actrices qui ont illustré la scène française depuis 1552 jusqu’à nos jours, Paris, Barraud, 1873 [C-F].
255Molé dans le rôle de Morinzer dans L’Amant bourru de Monvel, gravure par Janinet publiée dans Costumes et Annales des Grands théâtres de Paris, Paris, Janinet, 1787, no XX [C.-F.].
Molé dans le rôle de M. de Plinville, dans L’Optimiste de Collin d’Harleville, gravure par Janinet publiées dans Costumes et annales des grands théâtres de Paris. Paris, Janinet, 1789, no 38.[C.-F.].
Molé dans le rôle de Dubriage, Le Vieux célibataire de Collin d’Harleville, Petite Galerie dramatique. Paris, Martinet, 1796-1843 [C.-F.]. On peut lire la note suivante : « Debout, de profil, tourné vers la gauche. Il est coiffé d’un grand chapeau. Il porte une lévite, des bas blancs et des souliers à boucle. “Je vais au Luxembourg me promener un peu” » (II, 5), (À Paris, chez Martinet, rue du Coq, no 15) ».
Scènes
Molé dans le rôle de Lindor, dans Heureusement, comédie en 1 acte en vers de Rochon de Chabannes (1762), eau-forte gravée par E. Pennequin d’après Eissen, Paris, 1903.
Molé dans le rôle de Léandre, avec Dauberval (Octave) et Préville (Scapin) dans Les Fourberies de Scapin, de Molière. Gouache et encre sur vélin par Fesch et Whirsker [C.-F. ; photo Patrick Lorette. (1)].
Molé dans le rôle de Léandre, avec Dauberval (Octave) et Préville (Scapin) dans Les Fourberies de Scapin, de Molière. Gouache et encre sur vélin par Fesch et Whirsker [C.-F. ; photo Patrick Lorette. (2)].
Molé dans le rôle d’Oronte avec Préville (Boniface Chrétien), dans Le Mercure galant, de Boursault, d’après une gouache de Fesch et Whirskerreproduit dans Antoine-Vincent, Souvenirs et regrets du vieil amateur dramatique ou Lettres d’un oncle à son neveu, Paris, Alphonse Leclerc 1861 [C.-F.].
Molé dans le rôle de Damis, avec Préville (Éraste), dans L’Anglomane, de Saurin. Gravure d’après une gouache de Fesch et Whirsker, reproduit dans Souvenirs et regrets d’un vieil amateur [C.-F.].
Molé dans le rôle de Darviane, avec Brizard (le marquis) dans Mélanide, de Nivelle de La chaussée, d’après une gouache de Fesch et Whirsker,reproduit dans Souvenirs et regrets d’un vieil amateur
Molé dans le rôle du marquis, avec Préville (Rustaut) dans Le Galant coureur,de Marc-Antoine Legrand, d’après une gouache de Fesch et Whirsker, reproduit dans Souvenirs et regrets d’un vieil amateur [C.-F.].
Molé dans le rôle du comte Almaviva, avec Mlle Olivier (Chérubin), Mlle Contat (Suzanne), dans Le Mariage de Figaro, de Beaumarchais. D’après une gouache de Fesch et Whisker, reproduit dans Souvenirs et regrets d’un vieil amateur [C.-F.].
256Tragédies
Molé dans le rôle d’Hippolyte, Phèdre, de Racine. Gouache, encre et rehauts d’or sur vélin par Fesch et Whirsker [C-F., photo : Patrick Lorette].
Molé dans le rôle de Britannicus, dans Britannicus, de Racine. Gravure par Delpech, publiée dans Costumes de théâtre de 1600 à 1820 par Hippolyte Lecomte, Paris, Delpech, 1820. [C-F.].
Molé dans le rôle d’Égiste (Mérope) : longs cheveux flottants, manteau long, drapé peau de tigre, chaînes aux mains, jambes découvertes dans des caleçons couleur chair, cothurnes plats. Gravure d’après une gouache de Fesch et Whirsker, reproduit dans Souvenirs et regrets d’un vieil amateur [C.-F.].
Molé dans le rôle de Nérestan dans Zaïre,de Voltaire. Gravure par Janinet publiée dans Costumes et Annales des Grands théâtres de Paris, no XLVI, 1787 [C.-F.].
Molé dans le rôle d’Énée, dans Didon,de Lefranc de Pompignan. Gravure par Guillaumot fils [C.-F.].
Molé dans le rôle d’Albert, dans Albert Ier ou Adeline, de Leblanc de Guillet. Gravure par Guillaumot fils [C.-F.].
Molé dans le rôle de Servilius, Lekain dans le rôle de Manlius, dans Manlius Capitolinus, de La Fosse), gouache et rehauts d’or sur vélin par Fesch et Whirsker [C.-F. ; photo Patrick Lorette].
Molé dans le rôle de Pyrrhus, avec Mlle Saint-Val cadette (Andromaque), dans Andromaque,de Racine. Gouache, encre et rehauts d’or sur vélin par Fesch et Whirsker [C.-F. ; photo Patrick Lorette].
Molé dans le rôle d’Énée, avec Mlle Clairon (Didon), et avec Mlle Raucourt (Didon) dans Didon, de Lefranc de Pompignan (III, 5), gouache, encre et rehauts d’or par Fesch et Whirsker [C.-F. ; photo Patrick Lorette].
Molé dans le rôle de Britannicus avec Mlle Dumesnil (Agrippine) dans Britannicus, de Racine, gouache et rehauts d’or sur vélin par Fesch et Whirsker [C.-F. ; photo Patrick Lorette].
Molé dans le rôle d’Hippolyte avec Lekain (Thésée) dans Phèdre,de Racine, gouache, encre et rehauts dorés par Fesch et Whisker. Coll. BnF.
Molé dans le rôle de Hamlet, avec Mlle Dumesnil (Gertrude). Gouache, encre et rehauts dorés par Fesch et Whirsker [BnF].
Molé dans le rôle d’Égiste avec Brizard (Narbas) et Mlle Dumesnil (Mérope), dans Mérope de Voltaire, d’après une gouache de Fesch et Whirsker, reproduit dans Souvenirs et regrets d’un vieil amateur [C.-F.].
Album Ziesenis [BnF]
Le Dissipateur, de Destouches (scène).
257Le Père de famille, de Diderot (scène).
Gaston et Bayard, de Buirette de Belloy5 (scène).
Peintures
Molé, peinture par Étienne Aubry, toile ovale, buste de trois-quarts, en costume de ville. Collection privée.
Molé, portrait posthume par Louis-Marie Sicard, dit Sicardi, salon de 1808 (no 554).
Molé en buste, entre 40 et 50 ans6[C.-F. ; photo Patrick Lorette]. Portrait semblable, mais de plus petites dimensions, au Musée de Versailles
Molé, portrait présumé, anonyme. Huile sur toile. De trois-quarts, en tenue d’intérieur, tenant des feuilles de papier, Musée des Beaux-Arts de Tours (legs de la Collection Foulon de Vaulx, 1952).
Molé jeune, portrait par un peintre inconnu, Coll. Dormeuil, exposé aux Arts décoratifs en 1908 (voir catalogue).
Molé, portrait par Louis Boilly. Coll. du marquis de Pastoret. Signalé par Émile Dacier.
Portrait par un peintre inconnu, Coll. Schefer. Signalé par Émile Dacier.
Mme Reymond, « la jeune fille au manchon », par Élisabeth Vigée-Lebrun. Huile sur bois [Musée du Louvre].
Mme Molé-Reymond, estampe, rehaut de blanc, pierre noire, par Jacques Antoine Marie Lemoine [Musée du Louvre].
Sculptures
Molé, buste en marbre par Georges-Émile Muhlenbeck. Commandé par l’Administration des Beaux-Arts en 1896 [C.-F.].
Molé, buste en terre grise, auteur inconnu, Coll. Martin Leroy, cité par Émile Dacier. Reproduction dans Revue de l’Art ancien et moderne.
Antony : la grille de la propriété de Molé.
Antony : Le Tombeau de Molé.
1 Abrégée désormais C.-F.
2 Abrégée désormais BnF.
3 « Le lieu de la scène représente une prison. Béverley qui y est détenu, n’écoute plus que son affreux désespoir, Il s’est saisi de la liqueur empoisonnée qui doit terminer sa vie et semble prononcer ces mots que le poète lui fait réciter sur le théâtre : “Nature, tu frémis…” le jeune Tomy, son fils, assis dans un fauteuil, paraît endormi. Le dessinateur, sans nous faire perdre de vue les traits de l’acteur qui a rempli ce rôle, a cherché à caractériser par l’expression du visage et par l’attitude du joueur la fureur sombre et farouche qui le porte à s’ôter la vie. Les amateurs applaudiront au travail du graveur qui a su varier son burin et ménager ses lumières avec intelligence. » (Mercure de France, août 1772, p. 163).
4 On peut lire : « Le comte almaviva, grand d’Espagne, amant inconnu de Rosine, paraît, au premier acte, en veste et culotte de satin ; il est enveloppé d’un grand manteau brun, ou cape espagnole ; chapeau noir rabattu, avec un ruban de couleur autour de la forme. Au deuxième acte : habit uniforme de cavalier, avec des moustaches et des bottines. Au troisième : habillé en bachelier, cheveux ronds, grande fraise au cou ; veste, culotte, bas et manteau d’abbé. Au quatrième acte, il est vêtu superbement à l’espagnole avec un riche manteau ; par-dessus tout, le large manteau brun dont il se tient enveloppé. » (Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais, Le Barbier de Séville ou la Précaution inutile. Paris, Delalain, 1777, [np.]
5 Il y a aussi dans cet album des scènes de Hamlet, de La Veuve de Malabar et de Gabrielle de Vergy.
6 En 1819 le peintre offre le portrait aux Comédiens-Français contre deux années d’entrées pour son médecin Jacques Carrière.
- Thème CLIL : 4027 -- SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES, LETTRES -- Lettres et Sciences du langage -- Lettres -- Etudes littéraires générales et thématiques
- ISBN : 978-2-406-12581-5
- EAN : 9782406125815
- ISSN : 2781-274X
- DOI : 10.48611/isbn.978-2-406-12581-5.p.0253
- Éditeur : Classiques Garnier
- Mise en ligne : 23/02/2022
- Langue : Français