Le pauvre n’est pas par définition un saint, pas même le pauvre volontaire, à plus forte raison le pauvre malgré soi. “Bienheureux les pauvres en esprit, mais non pas tous”, s’écriait Pierre de Blois prêchant sur les Béatitudes un jour de Toussaint1.
Michel Mollat, Les pauvres au Moyen Âge.
1 Michel Mollat, Les pauvres au Moyen Âge, Bruxelles, Éditions complexes, 1978, réimpr. 2006, p. 140.