2 REMERCIEMENTS
Sans l'appui constant de mon Directeur de Recherches, Augustin Redondo, qui m'a guidé d'une main souple et ferme à la fois au sein du groupe de recherches qu'il anime sur l'Espagne du Siècle d'Or, ce travail n'aurait pas vu le jour. Il a toute ma reconnaissance.
Mes remerciements vont aussi à Philippe Berger, Jean Canavaggio, Guy Demerson et Josette Riandière La Roche, pour l'intérêt qu'ils ont porté à mon cheminement, bien avant d'accepter de faire partie de mon jury, et pour leurs observations, qui m'ont été d'un grand secours.
Je rends hommage à Jean Vilar pour la générosité avec laquelle il m'a ouvert les portes de sa bibliothèque.
Que soient remerciés encore tous ceux qui, pendant quatre années, par leurs remarques et leurs interrogations, ont contribué à enrichir ma réflexion. Je pense en particulier à Raphaël Carrasco, Jean Croizat-Viallet, Michel Charles, Jean-Pierre Dedieu, François Delpech, mes parents et mon frère Pierre, Jean-Nicolas Illouz, Robert Jammes, Henri Larose, Alain Milhou, Marie Miranda, Jaime Moll, Joan Olivar, Isabelle Poutrin, Antoine Ramo, José Simôn Diaz ou encore Thierry Vernet. J'aurai une pensée particulière pour Pierre Wagner et pour Chantal Bastelica-Géal, ma femme, qui ont bien voulu se charger de relire le manuscrit primitif.
Antoine, mon fils, qui a vu le jour alors que cette recherche était encore à ses balbutiements, lui a donné un autre sens : c'est à lui qu'elle est dédiée.
