Table des incipit des poèmes français
- Type de publication : Chapitre d’ouvrage
- Ouvrage : Œuvres complètes. Tome IV - 1. 1557-1558
- Pages : 815 à 822
- Collection : Textes de la Renaissance, n° 224
Table des incipit
des poèmes français
R = Regrets ; DJR = Divers Jeux rustiques ; Hymne = Hymne au Roy sur la prinse de Callais ; Trefve = Discours au Roy sur la trefve de l’an 1555 ; Resp = Responce à un sonnet de Magny
A vous troppe legere, DJR 3 74
Amy, je t’apprendray (encores que tu sois R 141 267
Après avoir long temps erré sur le rivage R 17 205
Après s’estre basty sus les murs de Carthage R 162 277
Autant comme l’on peult en un autre langage R 148 270
Avoir veu devaller une triple Montagne R 113 253
Ayant apres long desir, DJR 12 80
Baïf, qui, comme moy, prouves l’adversité R 56 224
Bien qu’aux arts d’Apollon le vulgaire n’aspire R 11 202
Bien que du mal duquel je suis atteinte, DJR 36 163
Bizet, j’aymerois mieulx faire un bœuf d’un formy R 143 268
Brusquet à son retour vous racontera (Sire) R 119 256
Bucanan, qui d’un vers aux plus vieux comparable R 187 290
Ce bon Hurauld, qui souloit estre, DJR 11 79
Ce Brave qui se croit, pour un jaque de maille R 71 232
Celuy qui d’amitié a violé la loy R 134 263
Celuy qui de plus près attaint la Deité R 184 288
Celuy vrayement estoit & sage & bien appris R 117 255
Ce n’est icy, que je chante, DJR 15 83
Ce n’est l’ambition, ny le soing d’acquerir R 27 210
Ce n’est le fleuve Thusque au superbe rivage R 10 201
Ce n’est pas de mon gré (Carle) que ma navire R 128 260
Ce n’est pas sans propoz qu’en vous le ciel a mis R 170 281
Ce n’est pas sans propoz qu’en vous le ciel a mis « Sonnet à la Royne d’Ecosse », Hymne au Roy 44
816Cent fois plus qu’à louer on se plaist à mesdire R 76 234
Cependant (Pelletier) que dessus ton Euclide R 189 291
Cependant qu’au Palais de procez tu devises R 122 257
Cependant que la court mes ouvrages lisoit R 7 200
Cependant que Magny suit son grand Avanson R 16 204
Ce pendant que tu dis ta Cassandre divine R 19 206
Ce pendant que tu suis le lievre par la plaine R 57 225
Ceres d’espicz je couronne, DJR 4 75
Ce ruzé Calabrois tout vice, quel qu’il soit R 62 227
Ceste vigne tant utile, DJR 8 77
C’estoit au poinct, que la nuict hyvernale, DJR 1 68
C’estoit ores c’estoit qu’à moy je devois vivre R 37 215
C’est ores, mon Vineus, mon cher Vineus, c’est ore R 42 217
Ce tableau, que pour t’estrener, DJR 13 81
Ceulx qui sont amoureux, leurs amours chanteront R 5 199
Combien que ta vertu (Poulin) soit entendue R 166 279
Combien que ton Magny ait la plume si bonne R 164 278
Comme le marinier que le cruel orage R 34 213
Comme on void de chasseurs une bande peureuse Trefve 57
Comme sur l’arbre sec la veufve tourterelle, DJR 37 179
Comme un, qui veult curer quelque Cloaque immunde R 109 251
Conte, qui ne fis onc compte de la grandeur R 21 207
Cousin, parle tousjours des vices en commun R 142 267
Cy gist Bonnet, qui tout sçavoit, DJR 29 139
Dans l’enfer de son corps mon esprit attaché R 174 283
De ce Royal palais, que bastiront mes doigts R 158 275
De fleurs, d’espicz, de pampre je couronne, DJR 5 75
Dedans le ventre obscur, où jadis fut encloz R 125 259
Depuis que j’ay laissé mon naturel sejour R 36 214
De quelque autre subject, que j’escrive, Jodelle R 180 286
Dessous ce grand François, dont le bel astre luit R 190 291
Dessous ceste motte verte, DJR 27 130
De-vaulx, la mer reçoit tous les fleuves du monde R 138 265
De voir mignon du Roy un courtisan honneste R 105 249
De vostre Dianet (de vostre nom j’apelle R 159 276
Dictes, Nymphes, pourquoy tousjours, DJR 25 128
Digne filz de Henry, nostre Hercule Gaulois R 172 282
817Doulce mere d’amour, gaillarde Cyprienne R 93 243
Doulcin, quand quelquefois je voy ces pauvres filles R 97 245
D’où vient cela (Mauny) que tant plus on s’efforce R 87 240
D’où vient que nous voyons à Rome si souvent R 98 245
Duthier, dont la diligence, DJR À Duthier 67
En ce moys delicieux, DJR 14 82
En-cependant (Clagny) que de mil argumens R 157 275
Encores que l’on eust heureusement compris R 72 232
En mille crespillons les cheveux se frizer R 92 242
Entre tous les honneurs, dont en France est cogneu R 160 276
Esprit royal, qui prens de lumiere eternelle R 176 284
Et je pensois aussi ce que pensoit Ulysse R 130 261
Flatter un crediteur, pour son terme alonger R 85 239
France, mère des arts, des armes, & des loix R 9 201
Fuyons (Dilliers) fuyons ceste cruelle terre R 116 254
Gordes, il m’est advis que je suis esveillé R 89 241
Gordes, j’ay en horreur un vieillard vicieux R 73 233
Gordes, je sçaurois bien faire un conte à la table R 144 268
Gordes, que Dubellay ayme plus que ses yeux R 75 234
Heureux celuy qui peult long temps suivre la guerre R 94 243
Heureux, de qui la mort de sa gloire est suivie R 20 206
Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage R 31 212
Icy de mille fards la traison se desguise R 127 260
Icy je ne chante pas, DJR 16 89
Il fait bon voir (Magny) ces Coions magnifiques R 133 263
Il fait bon voir (Paschal) un conclave serré R 81 237
Il me plaist icy de peindre, DJR 18 102
Il ne fault point (Duthier) pour mettre en evidence R 163 278
J’ayme la liberté, & languis en service R 39 216
J’ay oublié l’art de Petrarquizer, DJR 20 112
Je fuz jadis Hercule, or Pasquin je me nomme R 108 250
Je hay du Florentin l’usuriere avarice R 68 230
Je hay plus que la mort un jeune casanier R 29 211
Je les ai veuz (Bizet) & si bien m’en souvient R 136 264
Je me feray sçavant en la philosophie R 32 212
Je n’ay jamais pensé que ceste voulte ronde R 111 252
Je n’ay pas entrepris, pour deffendre l’Eglise (voir R 136 notes) 728
818Je ne commis jamais fraude, ne malefice R 43 218
Je ne descouvre icy les mysteres sacrez R 77 235
Je n’escris point d’amour, n’estant point amoureux R 79 236
Je ne suis pas de ceulx qui robent la louange R 182 287
Je ne suis pas, Ronsard, si pauvre de raison, DJR 38 181
Je ne te conteray de Boulongne, & Venise R 78 235
Je ne te prie pas de lire mes escripts R 151 272
Je ne veulx fueilleter les exemplaires Grecs R 4 198
Je ne veulx point fouiller au sein de la nature R 1 197
Je voy (Dilliers) je voy serener la tempeste R 129 261
La fortune (Prelat) nous voulant faire voir R 169 281
La Grecque poësie orgueilleuse se vante R 173 283
La jeunesse (Du-val) jadis me fit escrire R 186 289
La nef qui longuement a voyagé (Dillier) R 35 214
Las, où est maintenant ce mespris de Fortune R 6 199
La terre y est fertile, amples les edifices R 135 264
Le Breton est sçavant, & sçait fort bien escrire R 58 225
Le Ciel voulant tirer d’une rigueur cruelle, sonnet liminaire de Trefve 57
Le Roy (disent icy ces baniz de Florence) R 124 258
Magny, je ne puis voir un prodigue d’honneur R 67 230
Maintenant je pardonne à la doulce fureur R 13 203
Maintenant le vivre me fasche, DJR 28 134
Mais où as-tu trouvé (quelle temerité !) (voir R 136 notes) 726
Malheureux l’an, le mois, le jour, l’heure, & le poinct R 25 209
Mânes, Umbres, Espritz, et si l’antiquité, Execration, Hymne au Roy 43
Maraud, qui n’es maraud que de nom seulement R 54 223
Marcher d’un grave pas, & d’un grave sourci R 86 239
Maudict soit mille fois le Borgne de Libye R 95 244
Mauny, prenons en gré la mauvaise fortune R 51 222
Mon livre (& je ne suis sur ton aise envieux) R « À son livre » 196
Montigné (car tu es aux procez usité) R 55 224
Morel, dont le sçavoir sur tout autre je prise R 131 262
Morel, quand quelquefois je perds le temps à lire R 183 288
Muse, qui autrefois chantas la verde olive R 171 282
Nature à vostre naistre heureusement feconde R 168 280
819Nature est aux bastards volontiers favorable R 64 228
Ne lira-l’on jamais, que ce Dieu rigoureux R 23 208
Ne pense pas (Bouju) que les Nymphes Latines R 90 241
Ne pense (Robertet) que ceste Rome cy R 83 238
N’estant, comme je suis, encore exercité R 3 198
N’estant de mes ennuis la fortune assouvie R 41 217
Ne te fasche (Ronsard) si tu vois par la France R 147 270
Ne t’esbahis Ronsard, la moitié de mon ame R 8 200
Ne t’esmerveille point que chacun il mesprise R 66 229
Non pource qu’un grand Roy ait esté vostre père R 175 284
Nous deux Amans, qui d’un mesme courage, DJR 9 78
Nous ne faisons la court aux filles de Memoire R 84 238
Nous ne sommes faschez que la trefve se face R 123 258
O beaux cheveux d’argent mignonnement retors R 91 242
O combien est heureux, qui n’est contreint de feindre R 48 220
O Deesse, qui peuls aux Princes egaler R 96 244
O marastre nature (& marastre es-tu bien R 45 219
On donne les degrez au sçavant escolier R 153 273
On ne fait de tout bois l’image de Mercure R 102 247
O que tu es heureux, si tu cognois ton heur R 115 254
O qu’heureux est celuy qui peult passer son aage R 38 215
Ores, plus que jamais, me plaist d’aymer la Muse R 22 207
Ores, que mon Roy s’efforce, DJR 17 95
O trois & quatre fois malheureuse la terre R 114 253
Où que je tourne l’œil, soit vers le Capitole R 107 250
Pan, des forestz habitant l’épesseur, DJR 7 77
Panjas, veuls-tu sçavoir quels sont mes passetemps R 15 204
Par ses vers Teïens Belleau me fait aymer R 156 274
Paschal, je ne veulx point Juppiter assommer R 188 290
Passant, ce malheureux tumbeau, DJR 31 147
Pour avoir songé en Parnase, DJR 30 143
Pourquoy me gronde-tu, vieux mastin affamé R 69 231
Prelat, à qui les cieulx ce bon heur ont donné R 161 277
Puis que ce qu’en commun des vices j’ay escript (voir R 136 notes) 727
Quand ceste belle fleur premierement je vy R 185 289
Quand d’une doulce ardeur doulcement agité R 178 285
820Quand je contemple les beautez, DJR 19 104
Quand je te dis adieu, pour m’en venir icy R 28 210
Quand je vays par la rue, où tant de peuple abonde R 99 246
Quand je voudray sonner de mon grand Avanson R 165 279
Quand je voy ces Messieurs, desquelz l’auctorité R 118 255
Quand je voy ces Seigneurs, qui l’espée & la lance R 112 252
Quand mon Caraciol de leur prison desserre R 110 251
Quand ton col de couleur de rose, DJR 24 127
Que dirons nous (Melin) de ceste court Romaine R 101 247
Que feray-je, Morel ? Dy moy, si tu l’entends R 33 213
Qu’heureux tu es (Baïf) heureux & plus qu’heureux R 24 208
Quel est celuy qui veult faire croire de soy R 63 228
Que songeois tu, Bellay, lors que parmy tes rymes (voir R 136 notes) 725
Que ton Compaignon soit bragard & bien en point, Resp 15
Qui choisira pour moy la racine d’Ulysse R 88 240
Quiconques (mon Bailleul) fait longuement sejour R 30 211
Quiconques soyent les Dieux qui defendent la terre, Evocation, Hymne au Roy 42
Qui est amy du cœur est amy de la bourse R 61 227
Qui niera (Gillebert) s’il ne veult resister R 106 249
Regarde, ô Ceres la grande, DJR 2 73
Retirez vous amoureuses pensées, DJR 34 156
Robin par bois et campaignes, DJR 6 76
Ronsard, j’ay veu l’orgueil des Colosses antiques R 181 287
Sage De-l’hospital, qui seul de nostre France R 167 280
Sceve, je me trouvay comme le filz d’Anchise R 137 265
Se fascher tout le jour d’une fascheuse chasse R 121 257
Seigneur, je ne sçaurois regarder d’un bon œil R 150 271
Seigneur, ne pensez pas d’ouïr chanter icy R 60 226
Si après quarante ans de fidele service R 49 221
Si celuy qui s’appreste à faire un long voyage R 26 209
Si Dieu est de vous seuls, comme il veult adoré (voir R 136 notes) 726
Si fruicts, raisins, & bledz, & autres telles choses R 104 248
Si je me suis mocqué (ce que je ne vouldrois) (voir R 136
notes) 727
Si je monte au Palais, je n’y trouve qu’orgueil R 80 236
Si je n’ay plus la faveur de la Muse R dédicace à d’Avanson 193
Si la perte des tiens, si les pleurs de ta mere R 103 248
Si la vertu qui est de nature immortelle R 177 285
Si les larmes servoient de remede au malheur R 52 222
Si l’importunité d’un crediteur me fasche R 14 203
S’il m’en souvient, vous me distes un jour DJR 21 118
Si mes escripts (Ronsard) sont semez de ton loz R 152 272
Si mon esprit, qui peult sortir dehors, DJR 35 159
Si onques de pitié ton ame fut atteinte R 47 220
Si par peine, & sueur, & par fidelité R 46 219
Si Pirithois ne fust aux enfers descendu R 70 231
Si pour avoir passé sans crime sa jeunesse R 44 218
Sire, ce grand Monarque & Magnanime Prince Hymne 38
Si tu m’en crois (Baïf) tu changeras Parnasse R 154 273
Si tu ne sçais (Morel) ce que je fais icy R 18 205
Si tu veuls seurement en court te maintenir R 140 266
Si tu veuls vivre en court (Dilliers) souvienne-toy R 139 266
Si vostre esprit, qui de son origine, DJR 33 153
Si vous regardez, ma Dame, DJR 22 121
Sire, celuy qui est, a formé toute essence R 191 292
Sortons (Dilliers) sortons, faisons place à l’envie R 50 221
Souvent nous faisons tort nous-mesme’ à nostre ouvrage R 146 269
Sus ma petite Columbelle, DJR 23 126
Thiard, qui as changé en plus grave escritture R 155 274
Tu dis que Dubellay tient reputation R 74 233
Tu m’as faict un chappeau de roses, DJR 26 129
Tu ne crains la fureur de ma plume animée R 65 229
Tu ne me vois jamais (Pierre) que tu ne die R 59 226
Tu sois la bien venue, ô bienheureuse trefve R 126 259
Tu t’abuses (Belleau) si pour estre sçavant R 145 269
Un peu de mer tenoit le grand Dulichien R 40 216
Un plus sçavant que moy (Paschal) ira songer R 2 197
Une vierge chasseresse, DJR 10 78
Ursin, quand j’oy nommer de ces vieux noms Romains R 100 246
Veu le soing mesnager, dont travaillé je suis R 12 202
Veuls-tu savoir (Duthier) quelle chose c’est Rome R 82 237
822Vieille plus vieille que le monde, DJR 32 150
Vineus, je ne viz onc si plaisante province R 132 262
Vivons (Gordes) vivons, vivons, & pour le bruit R 53 223
Voicy le Carneval, menons chacun la sienne R 120 256
Vous dictes (Courtisans) les Poëtes sont fouls R 149 271
Voyant l’ambition, l’envie, & l’avarice R 179 286
- Thème CLIL : 3439 -- LITTÉRATURE GÉNÉRALE -- Oeuvres classiques -- Moderne (<1799)
- ISBN : 978-2-406-09526-2
- EAN : 9782406095262
- ISSN : 2105-2360
- DOI : 10.15122/isbn.978-2-406-09526-2.p.0815
- Éditeur : Classiques Garnier
- Mise en ligne : 28/12/2020
- Langue : Français