La pensée des rapports de l’homme à son environnement est prise entre deux tensions, également néfastes ou aporétiques : d’un côté, un humanisme égoïste, maître et possesseur ; de l’autre, un antihumanisme radical. C’est donc une voie médiane qu’il convient d’explorer : celle d’un humanisme responsable et (doublement) solidaire, conscient de la primauté et l’égale dignité humaines, autant que de la dépendance existentielle de l’homme à la nature, et des devoirs qu’il a envers elle.
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