De nombreux commentateurs, observateurs et chercheurs évaluent l’échec ou la victoire d’une lutte dans l’absolu, tranchent la question des effets d’un combat détachés d’autres combats, sans se rendre compte qu’ils coupent ainsi les fils de l’héritage. La lutte n’échoue définitivement que lorsqu’elle se perd dans les plis du temps, c’est-à-dire lorsque personne ne la narre et ne s’en inspire plus.