À la mémoire de Christian Biet qui savait si bien insuffler du commun et dont les enseignements et la bienveillance ont accompagné,
à chaque étape, la pensée de ce livre. Avec toute ma gratitude.
À celles et ceux avec qui j’ai collaboré, au théâtre
et à l’université, à Oxford, à Nanterre et ailleurs,
alors que je travaillais à cet ouvrage. Avec toute mon amitié.
À celles et ceux qui inventent chaque jour du commun
au cœur de la crise que nous traversons.