Mário de Andrade (1893-1945), jeune poète, critique et chef de file du mouvement moderniste à São Paulo, est avec cet article l’un des premiers à célébrer la venue de Cendrars au Brésil, en 1924. Après un bilan de l’œuvre, passionnément lue et étudiée, l’auteur s’interroge sur le jeu des influences européennes dans le Brésil d’alors et, comme par un sursaut de sentiment national, en vient à définir l’apport de Cendrars, paradoxalement émancipateur, à sa propre démarche poétique et intellectuelle.
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