Dans chaque tentative de discussion concernant le problème de la mort, porté soit sous un angle métaphysique, soit sous celui de l’élaboration d’un ars moriendi, il semble que – au moins dans ses écrits français – Cioran ait oscillé entre une solution nihiliste et la solution proposée par diverses variantes des philosophies qu’il connaissait déjà en Roumanie. Cet article argumente ce simple, et en même temps compliqué, constat.
Thème CLIL : 4027 -- SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES, LETTRES -- Lettres et Sciences du langage -- Lettres -- Etudes littéraires générales et thématiques