C’est l’intérêt commun des deux correspondants pour Ulysses de Joyce qui signe le départ de la seconde période : Valery Larbaud travaille à la traduction française ; Henri Buriot-Darsiles amène un traducteur allemand, le docteur Goyert. On voit aussi, dans les échanges, apparaître et disparaitre, pour de nombreuses années, Le Journal de Quasie, Le Cœur de l’Angleterre, œuvres de Larbaud restées longtemps méconnues. Le Bourbonnais et Allen, œuvre emblématique de Larbaud, y tiennent aussi une place importante.
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