L’article est basé en partie sur l’expérience personnelle de l’auteur qui a traduit plusieurs textes de Nodier inconnus jusque-là du public russe, notamment les nouvelles du cycle du « dériseur censé ». Viennent ensuite l’analyse de quelques travaux comparatistes consacrés à l’influence de Nodier sur la littérature russe et deux hypothèses sur les deux cas particuliers de cette influence : le rôle de Sbogar dans une nouvelle de Pouchkine et le rôle de Smarra dans un poème de Nikolaj Gumilev.