Compte-rendu de l'Assemblée générale de la SIAM du 18 octobre 2014

Quant au périmètre montaigniste, il s’étend jusqu’aux Montaigne Studies et au corpus ANR mis en place par Marie-Luce Demonet (deux journées d’étude ayant volontairement pris place à Bordeaux la même semaine que le Colloque sur l’Erreur).

Olivier Guerrier rappelle qu’en 2011, lorsqu’il a été élu Président, il désirait, grâce, entre autres, au Bulletin, proposer une politique scientifique à la SIAM. À cet effet, il remercie les vice-présidents Bernard Sève et Philippe Desan, qui l’ont soutenu dans l’installation d’un carrefour réunissant plusieurs disciplines, et à ce titre représentatif de la pensée de Montaigne, ainsi que le Bureau, pour sa réactivité et son efficacité.

Le bilan moral est approuvé à l’unanimité.

En l’absence du Trésorier, le bilan financier est présenté par le Président.

Il souligne que, malgré l’absence de subvention CNL cette année, la Société reste sur un bilan positif, et il remercie chaudement Nicolas Lombart, qui désire quitter ses fonctions.

Le bilan financier est approuvé à l’unanimité.

En ce qui concerne la politique éditoriale, le bilan est présenté par François Roussel.

Le premier numéro de 2014 est bouclé, le deuxième de la même année en cours de publication. Ils contiennent plusieurs compte-rendus de livres, en particulier celui d’E. Ferrari par Claire Couturas, et celui de P. Desan.

La responsabilité éditoriale a été prise en charge par un trio : Bérengère Basset, Dominique Brancher et François Roussel.

Lors des questions diverses, Christian Mähler-Besse, l’actuel propriétaire du château de Montaigne, déplore que les relations entre la SIAM et le château se soient distendues, et nous dit bienvenus au château où l’on pourrait réorganiser une visite.

O. Guerrier insiste sur la remarquable progression de notre site, pris en charge par Marc Foglia, tant au point de vue qualitatif que quantitatif : on peut ainsi noter un réel intérêt pour la SIAM lorsqu’on relève quelque 6 000 visites pour le sommaire des Bulletins, par exemple.