Cette étude interroge les composantes qui font de cette « diabolique » une histoire « tragique » dont l’auteur préfacier, qui arbore l’ethos du « moraliste chrétien », entend donner à voir « l’horreur » pour mieux « épouvanter ». Par « histoire tragique », l’article renvoie aux fictions brèves qui fleurirent de 1559 à 1644, et dont le récit se noue autour d’une dialectique de la transgression et du châtiment. C’est la dimension toute paradoxale de cette (ré)écriture qu’il entend souligner.