L’article étudie la relation de Barbey avec la maxime et la tradition moraliste du Grand Siècle sous trois points de vue : son admiration pour la culture mondaine du xviie siècle dont la maxime est une expression parfaite ; la poétique de la maxime à l’épreuve des Maximes et Pensées de Balzac et des Pensées détachées ; ainsi que le statut discursif de la maxime dans l’œuvre critique aurevillienne, donc sa valeur rhétorique et argumentative.