Nous reproduisons le texte du Traitté des douceurs de l’affliction. À Madame. Imprimé nouvellement, 1601, in-12, 88 p. et 8 ff. Exemplaire unique qui se trouve à la Bibliothèque du Musée de Chantilly, cote XII-B-79 – 4921.
Nous établissons le texte en le modernisant sur les points suivants, uniquement lorsque la clarté du sens l’exige :
–les rares corrections apportées au texte sont signalées par les doubles crochets [] pour les coquilles, fautes d’orthographe évidentes, erreurs grammaticales, lettre(s) ou mot(s) manquant. Les plus importantes sont signalées dans les variantes.
–dissimilation de a/à, i/j, la/là, ou/où, u/v.
–résolution de l’esperluette et des tildes.
–rétablissement des majuscules et des minuscules selon l’usage moderne.
–les abréviations sont développées (cath./catholique, M., ou MAD./Madame, St/Sainct).
–respect de l’accentuation, avec ajout de l’accent en finale du participe passé (-é, -ée, -és, -ées), sur après, assés, près, très, et l’accent circonflexe sur âme, grâce, idolâtre, infâme, chaîne.
–maintien de la ponctuation, sauf dans le cas où elle affecte la compréhension du texte. L’usage fréquent du double point et de la virgule avant la conjonction de coordination et est généralement respecté. Nous signalons la correction de la ponctuation entre / /1.
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–nous gardons les petites majuscules et les caractères en italiques du texte de référence.
–les manchettes sont reproduites et leurs abréviations complétées. L’appel de note marque leur emplacement dans les marges de l’édition originale.
–les paragraphes sont ceux de l’original.
–les numéros de page sont signalés entre crochets [].
1 Voir également J.-R. Fanlo, « Quelques remarques sur la ponctuation des Tragiques d’Agrippa d’Aubigné », dans La ponctuation à la Renaissance. Études réunies et présentées par Nathalie Dauvois et Jacques Dürrenmatt, Paris, Classiques Garnier, 2011, p. 149-161.