Nos remerciements les plus sincères vont à Françoise Laurent pour son accompagnement et la confiance qu’elle nous a témoignée. Nous remercions également Christine Ferlampin-Acher pour la rédaction de la préface, ainsi que l’École doctorale LLSHS de l’Université Clermont Auvergne et le laboratoire du CELIS, en particulier Bénédicte Mathios, pour le soutien qu’ils nous ont accordé.