Avant même son adieu à la poésie, Rimbaud engage toute la poésie moderne dans les abîmes d’une parole devenue aussi vertigineuse que lacunaire, hantée par le silence et l’impuissance. Écrire ce qui ne peut être dit, telle est la voie/voix des traqueurs d’inconnu. Mais n’est-ce pas là un avatar des grands gestes oraculaires et lyriques, à l’écoute des « choses de l’infini » (Hugo) ?
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