Résumé : Cet article étudie l’évolution du cadre institutionnel du secteur vitivinicole à travers le prisme de la sociologie des régimes d’engagements. Il montre que les régulations, européennes et mondiales depuis quelques années, relèvent de la « dé-singularisation » et de la « grammaire libérale ». Cette évolution va impacter les conventions de qualité mobilisables. La recherche mobilise les textes français et européens de 1905 à 2014, qui sont resitués dans le cadre des accords de l’OMC.