Résumé : L’analyse d’un corpus d’ouvrages universitaires, réflexions programmatiques, plaidoyers politiques éclaire les arguments visant à discréditer la rhétorique et à légitimer l’histoire littéraire. La critique de la rhétorique repose sur un dénigrement de l’ornement, de l’image, et du modèle. Le « beau » n’est plus ce que l’on imite, mais ce que l’on observe, à partir d’une méthode scientifique. On refuse une écriture singulière, fondée sur l’inspiration, et la potentielle valorisation du « don ».