Résumé : Le roman Mon nom est Rouge traite du sacré et du profane dans la peinture ottomane vers la fin du xvie siècle. Un livre commandité à des miniaturistes va contenir un portrait du Sultan fait à la manière italienne ; or, la peinture italienne est perçue comme profane. L’article scrute dans l’original et la traduction française de quelle manière le discours du sacré se construit.