Résumé : Le rôle des femmes traductrices dans l’Italie du début de l’ère moderne n’a été que très peu étudié, malgré l’apport indéniable de certaines femmes dans le domaine de la traduction, souvent au profit d’autres femmes ou de personnes moins instruites. Dans le contexte de la situation linguistique variée et complexe de la péninsule, ce chapitre se concentre sur les pratiques de traduction à l’intérieur de couvents, et en particulier sur les œuvres d’Angelica Baitelli et de Maria Stella Scutellari.