Résumé : La traduction en roumain des auteurs féminins italiens de la seconde moitié du XIXe siècle est un territoire encore inexploré. Ces romans et nouvelles paraissent principalement dans les revues littéraires de l’époque, fondées, pour certaines, par l’éditeur et entrepreneur Luigi Cazzavillan, promoteur de la langue et de la culture italiennes en Roumanie. Le public roumain a ainsi pu connaître Neera, Serao et Invernizio et le poète Alexandru Vlahuță a été l’interprète raffiné d’Ada Negri.