Résumé :La Beauté et La Jeune Parque sont analysées dans la perspective du détournement du topos de l’éloge poétique de la femme. Le choix de Baudelaire et de Valéry de faire chanter un sujet poétique féminin est interrogé pour étudier les enjeux de son auto-éloge. Altérité absolue, cette figure féminine semble incarner certains fondements des poétiques baudelairienne et valéryenne dans toute leur ambiguïté.