Résumé : A la réception de la poésie de Lionel Ray, le lecteur se retrouve face à des « lointains intérieurs » et aux prises avec « l’air », « l’azur », « la nuit sous la lumière », et le « noir dans le bleu » au large desquels le poète se perd afin de mieux se retrouver, exorciser la douleur qui sourd du souvenir et s’introduire dans cette lumière jaillissant de l’entrelacement de la douleur de l’ « ici » et de la rêverie de l’ailleurs. Quel est cet espace où Ray situe sa poésie ?