Résumé : La retraduction de La Montagne magique (2016) tente d’illustrer la possibilité d’une recréation vivifiante, refusant l’édulcoration des allusions humoristiques et, plus largement, culturelles ; elle est sous-tendue par un travail de recherche effectué dans une perspective intertextuelle, permettant de décrypter davantage que les sous-entendus philosophiques et l’hypertexte goethéen.