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Classiques Garnier

Auteurs

  • Publication type: Article from a collective work
  • Collective work: Politiques de l’épistolaire au xviie siècle. Autour du Recueil Faret
  • Pages: 269 to 271
  • Collection: Reading the Seventeenth Century, n° 6
  • Series: Discours historique, discours philosophique, n° 1
  • CLIL theme: 4027 -- SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES, LETTRES -- Lettres et Sciences du langage -- Lettres -- Etudes littéraires générales et thématiques
  • EAN: 9782812443619
  • ISBN: 978-2-8124-4361-9
  • ISSN: 2257-915X
  • DOI: 10.15122/isbn.978-2-8124-4361-9.p.0269
  • Publisher: Classiques Garnier
  • Online publication: 06-15-2011
  • Language: French
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Auteurs

Mireille Beausoleil est chargée de cours à l’Université de Montréal et professeur de littérature française au Collège Ahuntsic (Montréal). Ses recherches portent sur la poésie satirique des xvie et xviie siècles. Elle termine actuellement sa thèse, ayant pour titre : Le Fléau féminin dans l’imaginaire satirique : représentation fantasmatique d’un monde en ruine, sous la direction d’Éric Méchoulan.

Déborah Blocker est professeure associée dans le département de français de l’Université de Californie, Berkeley et est notamment l’auteur de Instituer un « art » : politiques du théâtre dans la France du premier xviie siècle (Paris, Champion, 2009). Elle s’intéresse plus largement à l’histoire sociale et politique des discours sur les « arts » dans l’Europe moderne (1500-1850) et, dans ce cadre, prépare actuellement un livre sur l’Accademia degli Alterati (Florence et Pise, 1570 – ca. 1620). En 2010-2011, Déborah Blocker est pensionnaire à la Villa I Tatti (The Harvard Center for Italian Renaissance Studies), à Florence.

Béatrice Brottier termine actuellement sous la direction d’Alain Viala une thèse (soutenance prévue en fin 2010) à l’Université de la Sorbonne Nouvelle – Paris III sur La poésie d’éloge dans les recueils de poésies collectifs de Toussaint Du Bray (1609-1630).

Bruno Forand est l’auteur d’une thèse d’histoire à l’Université de Paris IV Sorbonne sur La figure de l’historien idéal, ou la construction d’une idéalité dans l’imaginaire historiographique de la Renaissance. Jacques-Auguste de Thou (sous la direction de Denis Crouzet). Sa recherche se centre sur les relations entre rhétorique et identité ainsi que sur l’histoire des discours de la morale. Il est notamment l’auteur des études suivantes : « La figure de l’historien au travail : les fonctions paradigmatiques du moi dans l’historiographie renaissante », in Narrating the Self in Early Modern Europe, sous la direction de Bruno Tribout et Ruth Whelan, Oxford, Peter Lang, 2007, p. 53-68 ; et « ‘‘Jacobus Augustus Thuanus,

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Galliae lumen et historiarum nostri seculi Princeps’’ : l’herméneutique d’une majesté historiographique », Jacques-Auguste de Thou. Écriture et condition robine, sous la direction de Frank Lestringant, Paris, Les Presses de l’Université de Paris-Sorbonne (PUPS), 2007, p. 143-160.

Laurence Giavarini est maître de conférences en littérature des xvie et xviie siècles à l’université de Bourgogne, membre du centre Chevrier (UMR 5745) et du GRIHL (EHESS-Paris III). Elle est l’auteur de plusieurs travaux sur les usages politiques de la littérature pastorale sous l’Ancien Régime, sur les pratiques auctoriales libertines, sur les questions d’exemple et d’exemplarité. Son dernier ouvrage paru est La distance pastorale. Usages politiques de la représentation des bergers, xvie-xviie siècles, collection « Contextes », Paris, Éditions de l’EHESS (avec Vrin), 2010.

Anastasia Iline est archiviste paléographe et docteur en histoire. Elle dirige actuellement les Archives départementales de Mayotte et prépare la publication d’une biographie de François de Boisrobert (éditions Honoré Champion).

Christian Jouhaud est directeur d’études à l’EHESS et directeur de Recherche au CNRS. Parmi ses ouvrages et travaux récents, on mentionnera : Littérature, Histoire, Témoignage. Écrire les malheurs du temps, Paris, Gallimard, 2009 (avec Dinah Ribard et Nicolas Schapira) ; Sauver le Grand-Siècle ? Présence et transmission du passé, Paris, Le Seuil, 2007 ; Les pouvoirs de la littérature. Histoire d’un paradoxe, Paris, Gallimard, 2000 ; Mazarinades : la Fronde des Mots, Paris, Aubier, Collection historique, 2009 (1re éd. 1985) ; « “Camisards ! We were Camisards !” Remembrance and the Ruining of Remembrance through the Production of Historical Absences », History and Memory, vol. 21 (1), 2009, p. 5-24 ; « L’écriture polémique », dans Histoire de la France littéraire, tome II, Les classicismes, dir. Jean-Charles Darmon et Michel Delon, Paris, PUF, 2006, pp. 732-761.

Dinah Ribard est maître de conférences à l’EHESS (Centre de recherches historiques – Groupe de Recherches Interdisciplinaires sur l’Histoire du Littéraire). Elle a publié Raconter Vivre Penser. Histoires de philosophes 1650-1766 (Paris, Vrin / EHESS, 2003). « L’Histoire par le livre, xvie-xxe siècle » (dir. en collaboration avec Nicolas Schapira), Revue de synthèse, 2007/1-2, Springer-Verlag ; Histoire Littérature Témoignage. Écrire les malheurs du temps, Paris, Gallimard, « Folio Histoire », 2009 (avec

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Christian Jouhaud et Nicolas Schapira) ; L’Historien et la littérature, Paris, La Découverte, « Repères », 2010 (avec Judith Lyon-Caen). Spécialiste de l’histoire du travail intellectuel, elle mène actuellement un projet sur « Savoirs, métiers et écritures ».

Nicolas Schapira est maître de conférences d’histoire moderne à l’université Paris-Est, Marne-la-Vallée et membre du GRIHL. Il est l’auteur de Un Professionnel des lettres au xviie siècle. Valentin Conrart : une histoire sociale, Seyssel, Champ Vallon, 2003 et a publié aussi Histoire Littérature Témoignage. Écrire les malheurs du temps, Paris, Gallimard, « Folio Histoire », 2009 (avec Christian Jouhaud et Dinah Ribard) ; ainsi que « L’Histoire par le livre, xvie-xxe siècle » (dir. en collaboration avec Dinah Ribard), Revue de synthèse, 2007/1-2, Springer-Verlag. Ses travaux en cours portent notamment sur l’histoire des pratiques d’écriture associées à la fonction de « secrétaire ».

Jean-François Vallée enseigne les lettres et la communication au Département de français du Collège de Maisonneuve et est un membre régulier du Centre de recherche sur l’intermédialité de l’Université de Montréal. Il a coédité un ouvrage collectif sur le dialogue à la Renaissance – Printed Voices. The Renaissance Culture of Dialogue (University of Toronto Press, 2004) – et travaille présentement à un autre ouvrage collectif intitulé Transmédiations. Traversées culturelles de la modernité tardive. Il est l’auteur de plusieurs articles et comptes rendus dans des revues savantes ou des ouvrages collectifs au sujet tout particulièrement d’écrivains et d’imprimeurs de la Renaissance et du xviie siècle (Des Périers, More, Rabelais, Dolet, Guez de Balzac, etc.), ainsi que de diverses formes d’écriture dans l’Ancien Régime (le dialogue, l’utopie, la lettre…).