La valeur linguistique des correspondances diplomatiques du xviie siècleLe cas des lettres de René Favre de la Valbonne et de Monseigneur Albert Bailly
Résumé : La langue des correspondances diplomatiques est moins décontractée et plus conservatrice que la langue commune. Soumis à un code et à un cérémonial sophistiqué, ces documents, qui nous renseignent sur les conventions de politesse et de civilité, abandonnent néanmoins parfois le formalisme rigide pour laisser la place à un mode de communication moins officiel, plus confidentiel.