Résumé : Le temps est venu de tirer de l’oubli les Mœurs de mon temps (1882) qui constitue la première partie des Mémoires d’un vieil homme de lettres et apporte un éclairage personnel sur les coulisses de la société du Second Empire en particulier. Maxime Du Camp a tiré la substance de cette série d’anecdotes et de portraits en écoutant les confidences de courtisanes et les propos tenus dans les salons parisiens. Deux destins contrastés, celui de Louise Pradier et celui de la Païva, sont présentés ici.