Résumé : Le roman est analysé à travers le prisme de la déterritorialisation et de la dérégulation qui se manifestent dans la mise en scène des espaces géographiques comme des espaces symboliques (masculin/féminin, public/privé, savoir/ignorance…). Le récit s’organise ainsi autour d’un processus de déterritorialisation-reterritorialisation qui fait de la relation d’une enfance marginale un récit de formation conduisant le personnage à l’affirmation de son existence d’écrivain.