Résumé : La contribution analyse les façons de traduire à l’œuvre dans les trois traductions françaises de la Storia d’Italia de Francesco Guicciardini : Chomedey, 1568 ; Favre-Georgeon, 1738 ; Fournel-Zancarini, 1996. Elle met en évidence la récurrence d’une question centrale pour les « façons de traduire » : celle du choix entre « servitude » et « liberté ». Elle fait l’hypothèse de la présence de longue durée d’une ligne de traduction « dominée », définie par un respect de l’original qu’elle vise à accueillir.