Résumé : Les littératures contemporaines comorienne et mahoraise reflètent la pensée archipélique, telle que la définit Édouard Glissant. Dans cette infime partie du monde, les traditions et cultures locales se heurtent à la présence coloniale française. Le transculturel et le transfrontalier participent au développement d’un rhizome relationnel étendu en perpétuel changement.