Résumé : Albert Mérat (1840-1909), l’une des têtes de Turc de l’Album zutique, offre un bon exemple des valeurs du Parnasse dans son rapport avec les arts visuels. Collectionneur au goût éclectique, il a écrit plusieurs poèmes consacrés à des œuvres exposées au Salon et un sonnet célébrant une eau-forte de Millet. Absent du Coin de table de Fantin-Latour où il aurait dû voisiner avec Verlaine et Rimbaud, il est présent au Salon de 1872 dans l’Hérodiade de Lévy sous les traits de saint Jean décapité.