Résumé : En 2007, la compagnie Errance choisit, par un jeu de dédoublement structurel, d’introduire un chœur chantant et actant dans son spectacle L’Épouse persane, mis en scène par Simona Morini. L’une des actrices-adaptatrices interroge ici le montage métathéâtral du nouveau texte de la trilogie persane : il s’inspire, d’une part, de l’usage multiple que Goldoni lui-même fait du procédé dans ses pièces, d’autre part de la richesse de possibilités qu’offre le dispositif choral.