Résumé : Dans mon Paul Valéry et l’acte de traduire, j’ai insisté sur un nombre important d’aspects-clés de la théorie et pratique valéryennes dans le domaine de la traduction. Mon analyse portera plus précisément ici sur la nature de certains « refus » inhérents à cette démarche intellectuelle : cette sorte de jusqu’au boutisme associé à un puissant sentiment inhibiteur positivé qui caractérise son acte créateur où le faire et le sentir sont en interaction constante.