Résumé : L'objet de cet article est de montrer comment, dans les histoires littéraires scolaires de la IIIe République, qui promeuvent le canon classique, le Romantisme, notamment le drame, présenté comme un anticlassicisme, est dévalorisé. À l'origine de ce discrédit également, le rejet des influences étrangères, de l’esthétique de l’émotion, et d'une certaine conception du théâtre, « branche de la poésie dramatique et non art du spectacle ».