Résumé : Jusqu’à la fin des années 1970, l’enseignement de l’équitation était souvent contraignant. L’humiliation y tenait une bonne place (moqueries, injures, vexations). Curieusement, ces pratiques n’ont pas dissuadé les objectifs du groupe de cavaliers enquêtés : tous eurent de longues carrières d’amateurs. La fierté qui transparaît dans leurs témoignages laisse entendre un consentement à l’humiliation résultant d’une acculturation dont les effets se font encore sentir.