Résumé : Houellebecq décrit un monde-simulacre où la toute-puissance de la science et du capitalisme érige la compétition comme loi unique et débouche sur la destruction de tout altruisme, prélude à la mort de l’humanité occidentale. Jauffret relate l’étape suivante, celle de la décomposition du monde, visible à travers les mutations de la famille devenue le creuset où se propage la folie. L’auteur déroute le lecteur, invité peut-être à retrouver la sagesse et la modération.