Résumé : L’acidité, observée dans ses manifestations littéraires, peut être abordée selon une double dimension : une tentative de corrosion (« effet vitriol » par l’écrivain) associée à une réception joyeuse (« effet citron » pour le lecteur). Quatre propositions générales en rendront compte ici avec des exemples empruntés à Baudelaire et Barbey d’Aurevilly.