Résumé : Cette étude discute de la présence de bâtiments médiévaux préexistants au monastère Capucin de Turin ; la présence d’anciens bâtiments, quoique récemment défendue, s’est révélée finalement dépourvue de fondement. Les résultats de cette enquête amènent ainsi à s’interroger sur le rôle de l’historien et sur le piège de suggérer une interprétation fantaisiste des faits.