Résumé : L’étude d’un corpus de quelques centaines de noms de chien collectés dans le milieu des bergers inscrits sur Facebook, nous permet de déceler des récurrences qui peuvent-être lues comme des « modèles onymiques ». Le choix des noms de chiens révèle une tension entre des « matrices culturelles » qu’on pourrait classer comme traditionnelles, quoiqu’en partie vidée de leur contenu signifiant, et d’autres orientées vers une actualité où différentes composantes s’entrecroisent.