Résumé : Le film d’Ariane Mnouchkine, Le Dernier Caravansérail, utilise une rhétorique qui vise à s’accorder avec la réception du public de cinéma. La réalisation du film confirme que l’enregistrement du théâtre n’est plus l’invisible relais des images de la scène dès qu’il se déleste de sa fonction documentaire pour défendre sa visibilité en tant qu’objet esthétique. La « captation » n’est plus le hors-champ du théâtre.